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25 mars 2021 4 25 /03 /mars /2021 20:13

Puisque je n'ai plus la présentation des nouvelles de western de Dorothy M.Johnson par Bertrand Tavernier aux éditions 10/18, je retiendrai juste une phrase mise e exergue du recueil La colline des potences aux éditions Gallmeister :

 

"Il ne s'agit pas avec Dorothy Johnson d'un bon auteur de western, mais d'un écrivain majeur au style dense."

 

Sinon, je retiens une de ses phrases rapportée ce soir dans le journal d'Arte à propos du  cinéma :

 

"Le cinéma, c'est offrir le monde au monde."

 

Blog de Philippe Prunet (Overblog) : 25 mars 2021.

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25 mars 2021 4 25 /03 /mars /2021 13:25

Où on retrouvera dans la série américaine Malcolm in the middle - initiée par Linwood Boomer et diffusée pour la première fois dans les années 2000 - une référence explicite aux théories de René Girard sur le "désir mimétique" avec toutes les situations et intrigues possibles et imaginables qui en découlent. Les saisons et épisodes successifs suivent ainsi à la loupe - comme une caméra indiscrète embarquée qui tournerait 24 heures sur 24 -  la vie "édifiante" et les démêlés d'une famille, plutôt pauvre, de la classe moyenne américaine. En son milieu, on suit plus spécifiquement les aventures du jeune Malcolm durant ses années de collège et de lycée. Intermédiaire entre les actions qui se déroulent et le public, il  se tourne,  de temps à autre, face caméra pour commenter ou expliquer ce qui se passe. Elève détecté comme une sorte de génie en herbe, il est placé dans une classe réservée aux jeunes surdoués que lui et ses frères surnomment  les "têtes d'ampoules". Mais dans ce monde où, "vérité" de la série, toute le monde copie tout le monde, les surdoués n'échappent pas à la règle. Et Malcolm doit s'employer, à plusieurs reprises, quels que soient les milieux, à contrer et révéler les supercheries. Ainsi, même si "rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme"... première leçon : citer ses sources...

 

A cet égard, en 1992, inspiré par une pièce de l'Emballage Théâtre intitulée Je suis Hiroshima 100 000 degrés de plus que toi, j'initiais un rapprochement entre les théories de René Girard et les bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki. Et plus généralement, je présentais une relecture des relations internationales depuis 1945 à l'aune de ces théories... Ignorance ou manque de présence d'esprit, je m'étonnais que certains, qui ont également développé à leur manière des analyses sur le sujet (et parfois même aussi des détracteurs de ces interprétations), n'aient jamais pensé à évoquer ou référencer les articles concernés... Alors que j'effectuais en 1995-96 une étude personnelle (complétée en 2009) de la pièce Ibsen "Peer Gynt"  au prisme toujours des théories girardiennes, (mais aussi à la lumière d'autres auteurs tel Gombrowicz), je m'étonnais encore une fois de ne pas trouver le moyen de publier ce travail tandis que je repérais la trace de certaines notions utilisées (comme celle de "skandalon") dans des interventions pour un colloque organisé à l'occasion du centenaire de la mort d'Ibsen...

 

Néanmoins,  comme on n'enseigne bien que ce que l'on cherche,  disait Deleuze... en 2006, j'initiais une partie de mes élèves de classe Théâtre de lycée aux théories "mimétiques" par le biais de la pièce de Shakespeare  Troïlus et Cressida  analysée brillamment par René Girard dans son essai Shakespeare, les feus de l'envie... Peut-être en reste t-il une trace au moins dans les esprits...

 

Voir aussi notamment sur ce blog : "Cours de nuit : réviser René Girard avec "Malcolm in the middle"" (27 mars 2020).

 

Blog de Philippe Prunet (Overblog) : 25 mars 2021.

 

 

 

 

 

 

 

 

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23 mars 2021 2 23 /03 /mars /2021 18:59

Extraits de L'Opinion française et l'Iran, 1945-1991, Lille III, 1991.

 

Voir aussi : ETIEMBLE (René), L'Europe chinoise : t.1, de l'empire romain à Leibnitz, t. 2, de la sinophilie à la sinophobie, Paris, Gallimard, 1988 et 1989.

 

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Si, dans le cadre d'une "géopolitique des passions françaises", la Chine occupait une place de choix au cours des années 60-70, l'Iran lui vole la vedette sur la longueur des années 80, bien qu'en juin 1989, la mort de Khomeiny passe secondairement à la une des journaux après les événements de la place Tien Anmen.

 

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(...), il faut noter que, si la presse était là pour rendre compte immédiatement des anathèmes de l'ayatollah Khomeiny contre l'Occident et de la répression en Iran islamique, la Chine maoïste a bénéficié plus longtemps d'un voile de silence et de l'ignorance de l'opinion occidentale quant aux exactions du régime, en particulier durant la "révolution culturelle" dont la réalité ne fut véritablement révélée qu'avec un temps de décalage. Le modèle chinois, qui n'était pas entaché d'une image sanglante, a donc pu susciter l'adhésion d'un certain nombre d'intellectuels de gauche.

 

Mais au-delà des adhésions politiques et idéologiques, on peut juger (plus superficiellement, mais aussi plus largement) des images laissées par l'Iran khomeinyste et la Chine de Mao au sein de l'opinion occidentale sur le plan de la mode, notamment vestimentaire. Si le tchador des femmes iraniennes, la djellaba et le turban des ayatollahs ont symbolisé très vite l'altérité absolue, l'austérité vestimentaire, l'intolérance envers toute forme de "frivolité" dans l'habillement, le costume à la Mao a été intégré dans la panoplie de la mode occidentale des années 60 comme un excentricité parmi d'autres. Loin d'inspirer des images d'intolérance et de répression, la Chine a suscité des évocations plus légères, voire humoristiques à travers la variété, comme par exemple, une chanson de Nino Ferrer ("Mao et Moa", 1967) faite de jeux de "mao", qui, à défaut d'être proche de la réalité, véhiculait une image plutôt souriante et amusante de la Chine. De son côté, une chanson interprétée par Jacques Higelin ("Priez pour Saint Germain des Prés") présentait la "mode chinoise" parmi les stéréotypes des milieux intellectuels et estudiantins de Saint Germain  des Prés.

 

Les images répressives de la Chine et de l'Iran se sont maintenant rejointes : ce que symbolisait un dessin de Plantu (Le Monde, 6 juin 1989) représentant l'ayatollah Khomeiny moribond passant le bâton de la répression à Deng Xiaoping lors d'une course de relai. A cet égard, il faut à nouveau souligner le rôle de la chambre de résonance de la presse occidentale qui, présente inopinément sur les lieux pour une visite officielle de Gorbatchev, a pu rendre compte du mouvement étudiant de la place Tien Anmen et de sa répression.

 

L'image révolutionnaire de l'Iran est donc, avant tout, aujourd'hui, négative. La figure de Che Guevara (qui n'est pas sans évoquer celle de Lord Byron peint par Philips) a fait perdurer jusqu'à nos jours une aura romantique autour de la révolution cubaine. Mais l'effondrement du communisme en Europe de l'Est a fait se rejoindre, là aussi, les "barbus" de Téhéran et de la Havane comme symboles d'un "intégrisme" entendu comme le rejet de la démocratie et des valeurs occidentales. Cependant, comme le note Semih Vaner ( chercheur au CERI et fondateur du CEMOTI) dans un article de Libération ( "Paris-Ankara-Téhéran") du 17 septembre 1991 : "L'un des rares effets positifs de la guerre du Golfe aura été d'atténuer l'image de l'Iranien-chiite-le couteau-entre-les-dents."

 

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Au sujet des unes des journaux du 5 juin 1989.

 

Les manchettes sont occupées avant tout par les événements de la place Tien Anmen tandis que la mort de Khomeiny est renvoyée vers le bas, dans la seconde moitié de la page. A cet égard, les unes du Monde (daté du 6 juin) et du Figaro sont assez semblables avec toutes les deux un dessin (l'un de Plantu, l'autre de Jacques Faizant) associant Khomeiny à l'image de la mort faucheuse de vies fauchant, cette fois-ci, l'un de ses serviteurs.

 

L'Iran est évoqué dans la partie droite de la page quand une part égale est accordée aux deux événements, comme c'est le cas dans France Soir et le Quotidien de Paris; toutefois, pour ce dernier, alors que le titre principal concerne la Chine, c'est la photographie de Khomeiny, s''élevant sur toute la hauteur de la page, silhouette noire qui surplombe la photographie de cadavres d'étudiants chinois qui domine le tableau.

 

Seul le Parisien Libéré réunit les deux événements sous un même titre : "Le crépuscule sanglant des tyrans". Plantu reprend la même idée dans son dessin du Monde associant Khomeiny moribond et Deng Xioping en vieillard cacochyme.

 

Les unes de L'Humanité  et de Libération sont structurées de la même façon et accordent nettement la priorité à la répression en Chine qui est évoquée sur les quatre cinquièmes de la première page. La mort de Khomeiny est renvoyée en cinquième colonne en entête de l'annonce d'autres événements internationaux; mais à la différence de L'Humanité, Libération  y adjoint une photo du "guide" de l'Iran et accorde un titre relativement gros. A cet égard, le journal adopte une une assez neutre et sobre sur Khomeiny comparativement aux autres quotidiens où l'ayatollah, s'il n'est pas explicitement qualifié de "tyran", est diabolisé ou associé à une image de mort (celle qu'il a suscité par sa politique).

 

De ces unes ressortent l'évocation de deux couleurs. Le mollah noir comme ses habits et comme la mort; le rouge du communisme et de la répression en Chine.

 

A l'exception du Quotidien de Paris, les premières pages sont  consacrées aux événements de la place Tien Anmen tandis que celles évoquant la mort de Khomeiny sont renvoyées au coeur ou à la fin du journal.

 

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A propos de la Russie, Jacques Julliard note en 1991:

 

"Ces terres russes aux confins d e l'Asie ne sont pas seulement depuis des siècles nos marches de l'est; elles sont un lieu en ce moment de notre sensibilité. Et cela est spécialement vrai pour nous autres Français car, depuis le XVIIIe siècle, la Russie tient une place à part dans notre géographie sentimentale."

("Le sang des rêves", in. Le Nouvel Observateur, 1399, 24 août - 4 septembre 1991).

 

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Blog de Philippe Prunet (Overblog) : 23 mars 2021.

 

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21 mars 2021 7 21 /03 /mars /2021 13:46

<< Tout homme est un réactionnaire. La gauche est une salle d'attente. Le musicien devant sa page réglée est un réactionnaire. A chaque mesure il augmente d'un faisceau sa symphonie. Il n'admet aucune ingérence. Les notes de la gamme ne sont pas syndiquées. Le droit de grève leur est inconnu. Les musiciens dits de gauche n'écrivent pas de la musique de gauche. Ils n'écrivent pas non plus de la musique indifférente qui, elle aussi, comme la poésie confinerait au silence. Les chants d'oiseau sont-ils d'une écriture différente, chants d'amour, chants de terreur ? Les oiseaux nous donnent l'image de l'indifférence. Si nous étions des oiseaux, nous aurions une des problèmes d'oiseaux, une indifférence d'oiseaux. L'indifférence est littéraire. >>

 

Léo Ferré, "Tout homme est un réactionnaire", extrait de La mauvaise graine. Textes, poèmes et chansons, Paris, Le Livre de Poche, 1995. Préface et notes de Robert Horville, professeur de littérature française à l'université de Lille III.

 

Blog de Philippe Prunet (Overblog) : 21 mars 2021.

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20 mars 2021 6 20 /03 /mars /2021 16:35

<< (.........................................................)

 

Une ville sans queue est inconcevable et vouée à la déchéance.

 

Les hommes fuient la terre pour s'agglomérer à la queue.

 

La morale de l'attente est un des bastions de la société moderne.

 

ATTENDRE n'importe quoi

 

un livre,

une exposition,

une augmentation,

une échéance,

le dentiste,

le coiffeur,

le plein d'essence,

le Parlement,

les vacances,

le bachot,

 

Mais ATTENDRE

 

C'est la fonction même du temps des hommes.

 

Supprimer l'attente, cela revient à dire : arrêter le temps, vivre en marge de Greenwich - instrument de mesure à tempérament -

comme le piano, qui ignore le 1/4, le 1/8, le énième de ton et qui s'accordera jamais avec le violon et qui ne jouera jamais les sérénades ultrasoniques aux chauves-souris mélomanes.

 

Arrêter le temps, c'est arrêter la vie,

la vie des cons, bien entendu.

Quant aux autres, il y a belle lurette qu'ils ont leur temps personnel.

 

L'autre vie ignore l'attente, enfin... qu'on dit !

 

On entre au ciel de plain-pied et en enfer, en montrant sa carte, son permis d'enfer,

on entre dans la mort sans le chronomètre.

Il n'y a pas de vestiaire au Père-Lachaise,

il y a seulement la Dame Pipi d'ange à qui on refile quelque grain de silence.

 

Les morts sont nus.

 

Comme dit Bakounine : "Si Dieu existait, il faudrait le faire disparaître",

 

car, tout ça, vraiment, l'être, le néant, l'en-soi, le pour-soi... Ta gueule, Philo ! >>

 

Léo Ferré, "La queue" in. La mauvaise graine. Textes, poèmes et chansons, Paris, Le Livre de Poche, 1995. Préface et notes de Robert Horville, professeur de littérature française à l'université de Lille III.

 

Source photo intermédiaire : France Info.

 

Blog de Philippe Prunet (Overblog) : 20 mars 2021.

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11 mars 2021 4 11 /03 /mars /2021 23:26

 

 

Blog de Philippe Prunet (Overblog) : 11 mars 2021.

 

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11 mars 2021 4 11 /03 /mars /2021 23:22

 

Blog de Philippe Prunet (Overblog) : 11 mars 2021.

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11 mars 2021 4 11 /03 /mars /2021 23:17

 

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11 mars 2021 4 11 /03 /mars /2021 23:12

 

                              (Source : Polka Galerie)

 

Blog de Philippe Prunet (Overblog) : 11 mars 2021.

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6 mars 2021 6 06 /03 /mars /2021 15:11

Socialité, mimesis et copie dans la littérature selon Roland Barthes....

 

"Si j'ai posé le problème de la socialité de la littérature, c'est que justement, je voudrais arriver peu à peu à rendre le caractère spécifique et, si je peux me permettre ce mot, topique", de la littérature. C'est  un objet spatialement très particulier, puisqu'elle se présente comme un langage universel et qu'elle est en même temps un langage particulier. Si on prend par exemple un roman de type assez traditionnel - par exemple un roman de Balzac -, en quoi ce roman participe t-il à une certaine socialité ?

 

Cela a été étudié par des critiques et des écoles de critiques. Il y participe de façon ambiguë, contradictoire. D'une part le langage de la littérature, le langage du récit écrit. Ce n'est pas un langage parlé. Et en même temps, à l'intérieur de ce roman, circulent, et sont présentés d'une façon en quelque sorte kaléidoscopique, une grande quantité de langages imités. Ce qu'il  y a d'intéressant dans la littérature, ce n'est pas tellement qu'un roman reflète une réalité sociale; le caractère spécifique d'une oeuvre littéraire, d'un roman par exemple, c'est ce qu'on pourrait appeler une mimesis des langages, une sorte d'imitation générale des langages. Ce qui fait que lorsque la littérature, le roman, se donnent comme écriture littéraire, c'est finalement l'écriture littéraire antérieure qu'ils copient.

 

La pratique littéraire n'est pas une pratique d'expression, d'expressivité, de reflet, mais une pratique d'imitation, de copie infinie. Et c'est pour cela que c'est un objet très difficile à définir : parce que c'est un objet de langage.(...)"

 

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"(...) écrire c'est se placer dans ce qu'on appelle maintenant un immense intertexte, c'est-à-dire placer son propre langage, sa propre production de langage dans l'infini même du langage."

 

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"(...) C'est là que, précisément, se produit une sorte d'atteinte au sujet. Et l'atteinte du sujet, l'atteinte de la consistance du sujet qui se produit dans l'écriture, c'est si exaltant que c'est l'objet même de toutes les expériences limites, marginales, comme par exemple la drogue ou la perversion ! Pour moi, la littérature - je parle toujours, évidemment d'une littérature en quelque sorte exemplaire, exemplairement subversive, et c'est pour pourquoi que j'aimerais mieux l'appeler écriture - est toujours une perversion, c'est-à-dire une pratique qu vise à ébranler le sujet, à le dissoudre, à le disperser à même la page. (...)

 

L'un des romans les plus vertigineux de la littérature française, parce qu'il condense vraiment toutes les problématiques, c'est Bouvard et Pécuchet  de Flaubert, qui est un roman de la copie, l'emblème même de la copie étant d'ailleurs dans le roman, puisque Bouvard et Pécuchet sont des copistes, qu'à la fin du roman ils retournent à cette copie... et que tout le texte est un carrousel de langages imités. C'est le vertige même de la copie, du fait que les langages s'imitent toujours les uns les autres, qu'il n'y a pas de fond au langage, qu'il n'y a pas de fond original  spontané au langage, que l'homme est perpétuellement traversé par des codes dont il n'atteint jamais le fond. La littérature est un peu cette expérience-là."

 

Expérience où la littérature ne rendrait pas seulement compte de relations "mimétiques" écrirait René Girard, voire de relations "interdividuelles" noterait Jean-Michel Oughourlian; mais où le langage littéraire serait en tant que tel le produit de ces relations ou expériences vécues. Expérience de Gombrowicz dans ses combats avec la Forme : et en particulier avec les formes littéraires. Analyses littéraires, aussi, de Gerard Genette à partir de la notion de "palimpsestes"...  ou "la littérature au second degré"... Jeux de langages et conflits "mimétiques" que Ibsen expérimente dans Peer Gynt...

 

Roland Barthes, Maurice Nadeau, Sur la littérature, Presses universitaires de Grenoble, 1980. Conversation extraite du Dialogue de France Culture intitulé "Où va la littérature ?" et diffusé le 13 mars 1973.

 

Roland Barthes , sémiologue (Source photo : Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche).

 

Blog de Philippe Prunet (Overblog) : 6 mars 2021. Complété le 31 décembre 2021.

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  • : Idée de ce blog : fixer et trouver un lieu de publicité pour un certain nombre de textes que j'ai fait passer via le net, au fil de l'actualité (la mienne, celle autour), ces trois dernières années. Trouver la verve pour en écrire d'autres et combler ainsi une forme de vocation journalistique; même si tout cela n'est qu'épisodique, sommaire, irrégulier et ne joue que sur une partie de la gamme.
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