Un climat trouble et ridicule de paranoïa et de surveillance sécuritaire (remettant en cause les libertés publiques) a traversé le quinquennat Sarkozy. Des approches journalistiques ont tenté d'en démêler les tenants et les aboutissants sans apporter d'éléments définitifs sur l'action politique et policière en la matière. Les inquisiteurs d'Etat et leurs serviteurs courent toujours.Le thème pourrait néanmoins affleurer davantage dans la campagne présidentielle pour soumettre Nicolas Sarkozy et son équipe à des interrogations sur le sujet. Bruno Beschizza, pistonné du sarkozysme, monsieur Sécurité de l'UMP qu'on peut voir parfois dans les médias, doit être bien informé et pourrait peut-être apporter des réponses. A moins qu'il faille le passer au détecteur de mensonges? mais il semble de toute façon convaincu de son action.