Mail adressé au New York Times le 22 octobre 2009 à 16h09 :
"Help.
Sorry, I don't speak english.
J'ai déjà écrit au NY Times il y a un an.
Cependant, même si il y a des éclaircies de plus en plus larges à l'horizon, le ciel de France reste assez bas et lourd, les démonstrations officielles et officieuse de bêtise sont de plus en plus flagrantes, l'accumulation (dans la durée) des tensions et des absurdités de plus en plus dures à supporter. Il me faudrait donc une aide extérieure pour accélérer une issue favorable, m'en sortir par le haut sans trop de dommages.
Est-il normal de bloquer arbitrairement quelqu'un dans sa carrière, son épanouissement, sa vie sociale, ses amitiés, ses amours...? de détruitre sa santé, de le pousser au suicide? d'influer sur son entourage, le calomnier, l'isoler socialement? de violer son intimité? de l'épier 24h sur 24 lui et sa famille sans que personne ne lève officiellement le petit doigt, n'ose dire la vérité en face sans se refugier derrière des ricanements ou (sauf exceptions que j'espère de plus en plus nombreuses) sous des postures et des arguments plus ou moins ineptes si ils ne s'accompagnent pas de courage et d'actes réparateurs?
Dans quel système, sous quel régime, avec quels gens vit-on? Chacun continue de tourner en rond. Dans ces conditions, quel crédit donner à la France dans des négociations internationales pour la défense de la démocratie?
Pourriez vous m'aider à sortir de ce cirque? A moins de m'aider à me défendre juridiquement, m'aider à publier normalement mes textes. Tant pis si le scandale ne touche pas seulement que le Président Sarkozy : cela apprendra aux autres à regarder aussi leur imbécilité en face. Ce qui pourrait même servir d'exemple édifiant pour d'autres pays et populations dans le monde.
Sinon, je veux bien demander l'asile politique aux Etats-Unis. merci de bien vouloir transmettre ma demande d'aide au Président Obama.
Cordialement,..."
22 octobre 2009 au soir : Jean Sarkozy annonçait publiquement le retrait de sa candidature à la présidence de l'EPAD.