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15 novembre 2019 5 15 /11 /novembre /2019 16:16

Tandis que Witold Gombrowicz est peut-être en voie d'institutionnalisation à travers ses lieux de vie qui deviennent en même temps lieux de mémoire, je trouvais, en me promenant à Buenos Aires sur les bords du Rio de la Plata, une baraque à frites ornée de l'appellation de "Casa de Homero"... Je ne sais pas vraiment si Homère se trouvez là, mais son oeuvre a traversé bien des époques et des contextes différents; que ce soit, par exemple,  à travers le Dublin de James Joyce ou le Naples du Mépris de Godard...

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15 novembre 2019 5 15 /11 /novembre /2019 15:58

Où les livres et l'actualité accompagnent la parcours de Ferdinand et Marianne dans Pierrot le fou (1965) de Jean-Luc Godard . On retrouvera notamment des références :

 

- à Guillaume d'Orange et la Glorieuse révolution anglaise;

 

- à Velazquez dans L'Histoire de l'art d'Elie Faure;

 

- à la Guerre froide avec la conquête spatiale par les Russes et les Américains ou bien avec la guerre du Vietnam;

 

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Et où on trouvera également une définition du Cinéma par Samuel Fuller...

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13 novembre 2019 3 13 /11 /novembre /2019 23:28

Witold Gombrowicz est décédé en 1969. On assiste donc en 2019 à une multiplication des événements et manifestations qui lui sont consacrés comme cette semaine au Centre scientifique de l'Académie polonaise  des Sciences à Paris où sont présentées un certain nombre d'affiches primées au concours "Gombrowicz semi-éternel" organisé pour l'occasion. Plus globalement, à écouter les conférenciers qui se sont exprimés mardi et mercredi, on peut se demander quelle est concrètement la postérité de son oeuvre depuis sa mort ? Si Gombrowicz n'a pas obtenu, récompense suprême, le Nobel comme il en fut question en 69, les traductions de ses livres ont proliféré et foisonné à travers le monde comme dans une tour de Babel dont "la Forme" aurait échappée à son initiateur; alors que, de son vivant, la diffusion de ses textes s'est surtout ancrée en Pologne, en Argentine (où il vécut de 1939 à 1963) et en France où il termina sa vie. A cet égard, on notera la parution ce mois ci aux éditions Sillage de "lettres à ses disciples argentins" traduites par Mikaël Gomez Guthart. D'une certaine manière, son oeuvre reste toujours vivante aussi à travers les mises en scène de son théâtre ou par des films de fiction (d'après ses romans) ou documentaires (comme le touchant Gombrowicz, la Argentina y yo d'Alberto Yaccelini). De nombreux chercheurs continuent à graviter également autour de son travail : c'est ainsi que j'ai eu le plaisir de participer au Segundo Congreso Gombrowicz de Buenos Aires organisé en août par Nicolas Hochman. Par ailleurs, plus institutionnellement, des lieux de mémoire ont été créés à Vence (où il vécut dans les années 60 avec son épouse d'origine québécoise Rita) ou Wsola en Pologne... Les écrits et la pensée de Gombrowicz continuent donc de circuler par des chemins divers auprès de lecteurs de plus en plus nombreux... tandis que, de façon plus marginale, je continue  pour ma part à en parler sur mon blog...

Ezequiel Gusmeroti, Gombrowicz y yo... (Buenos Aires, août 2019)

"Variations sur Gombrowicz" (Emilia Fernandez Tassende y yo, Segundo Congreso Internacional  Witold Gombrowicz, Buenos Aires, août 2019)

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11 novembre 2019 1 11 /11 /novembre /2019 22:42

Contre nous de la tyrannie

 

Ce qui doit s'entendre bien sûr comme une lutte contre toutes les formes d'abus de pouvoir d'où qu'ils viennent et dans le respect des principes de la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen de 1789.

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11 novembre 2019 1 11 /11 /novembre /2019 21:53

Premier couplet :

.... le jour de gloire est arrivé.

 

Deuxième couplet :

.... Nous entrerons dans la carrière quand nos années n'y seront plus.

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11 novembre 2019 1 11 /11 /novembre /2019 15:41

"Son biographe Colerus rapporte qu'il aimait les combats d'araignée : 'Il cherchait des araignées qu'il faisait battre ensemble, ou des mouches qu'il jetait dans la toile d'araignée, et regardait ensuite cette bataille avec tant de plaisir qu'il éclatait quelquefois de rire.' C'est que les animaux nous apprennent au moins le caractère irréductiblement extérieur de la mort Ils ne la portent pas en eux, bien qu'ils se la donnent nécessairement les uns aux autres : la mort comme mauvaise rencontre inévitable dans l'ordre des existences naturelles. Mais ils n'ont pas encore inventé cette mort intérieure, ce sado-masochisme universel de l'esclave-tyran."

 

Gilles Deleuze note en complément à propos des combats d'araignée :

 

"Cette anecdote nous semble authentique pour ce qu'elle a beaucoup de résonances "spinozistes". Le combat d'araignée, ou d'araignée-mouche, pouvait fasciner Spinoza pour plusiseurs raisons : 1) du point de vue de l'extériorité de la mort nécessaire; 2) du point de vue de la composition des rapports dans la nature (comment la toile exprime un rapport de l'araignée avec le monde, qui s'approprie comme tel des rapports propres avec la mouche); 3) du point de vue de la relativité des perfections ( comment un état qui marque une imperfection de l'homme, par exemple la guerre, peut au contraire témoigner d'une perfection, si on le rapporte à une autre essence comme celle de l'insecte : cf; Lettre XIX, à Blyenbergh).

 

Voir : Gilles DELEUZE, Spinoza. Philosophie pratique, Les Editions de Minuit.

 

A propos d'araignées, on pensera aussi à :

 

Paul Murray Kendall, Louis XI, the universal spider.

 

The Rolling Stones, The Spider and the fly.

 

Serge Gainsbourg, Intoxicated man.

 

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10 novembre 2019 7 10 /11 /novembre /2019 02:48

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Mais les auteurs romantiques, loin de se consacrer uniquement à leurs passions individualistes, se sont aussi intéressés à la politique de leur temps, aux causes nationales et internationales de leur époque. Le poète anglais Byron (1788-1824) participa à la lutte des Grecs contre la domination turque qui inspira aussi certaines toiles du peintre français Eugène Delacroix (1798-1863). Un certain nombre d'auteurs romantiques se sont orientés vers un engagement politique libéral et progressiste; c'est ainsi, par exemple, que le poète Lamartine participe au premier gouvernement de la IIe République en 1848 ou que Victor Hugo critique vertement le IInd Empire au point de devoir s'exiler.

 

La Reine Margot doit être également présenté par rapport à l'interprétation qu'en a fait Patrice Chéreau à travers son film. Contrairement aux adaptations cinématographiques fantaisistes qu'a suscité Les Trois mousquetaires, Chéreau, qui est également un metteur en scène de théâtre célèbre, fait plutôt une approche très sérieuse du roman d'Alexandre Dumas; mais dont la lecture passe par le filtre des événements d'une histoire plus récente. C'est ainsi qu'on peut y voir un parallèle entre les guerres de religion de la France du XVIe.s et les violences liées à l'intégrisme religieux et aux nationalismes d'aujourd'hui (contexte des années 90). Par ailleurs, l'image de l'entassement et de l'enterrement des morts du massacre de la Saint Barthélémy a pu faire évoquer des images liées à la IIde Guerre mondiale. Cependant, le film montre bien les circonstances improvisées et non maîtrisées du massacre de la Saint Barthélémy qui doit se limiter, à l'origine, à l'élimination à quelques chefs protestants et qui n'a, de toute façon, rien à voir avec la politique d'extermination nazie.

 

Conclusion :

 

L'analyse du film et du roman permet donc (même sommairement) l'étude superposée de contextes historiques différents. Pour le XVIe.s, le roman et le film illustrent bien les enjeux politiques que recouvrent les mariages princiers et la division religieuse de l'Europe au sous l'Ancien Régime. En marge de l'histoire d'amour entre Marguerite de Navarre et de son amant huguenot, se trouve Henri de Navarre, futur Henri IV et personnage central de l'histoire de France, qui par l'édit de Nantes de 1598 pacifie le royaume en instituant la tolérance religieuse en faveur des protestants. Cependant, les places fortes qu'il leur accorde sont supprimées par Louis XIII dès 1629 tandis que l'édit de Nantes est entièrement révoqué par Louis XIV en 1685 au nom de la monarchie absolue de droit divin.

 

Pour un point de vue britannique chronologiquement plus proche des événements, voir : Massacre à Paris  (1593) de Christopher Marlowe.

 

Philippe Prunet, Cours de 2de, 1996/1997, Lycée Paul Valéry (Paris, 12e)

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10 novembre 2019 7 10 /11 /novembre /2019 02:14

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II) Drame romantique et histoire contemporaine

 

Mais au-delà du contexte qu'il illustre, celui des guerres de religion, La Reine Margot, drame romantique rédigé en plein milieu du XIXe.s, doit être lu également à la lumière du contexte dans lequel il a été élaboré. La Renaissance, puis l'âge classique s'étaient surtout intéressés à l'Antiquité qu'ils avaient redécouvert. Le XIXe.s  romantique s'intéresse aux périodes suivantes, depuis le Moyen-Age, avec notamment les romans de Walter Scott ou Notre Dame de Paris de Victor Hugo, jusqu'aux périodes les plus récentes de la Révolution Française, de l'Empire et de la Restauration, évoquées par exemple à travers les romans de Stendhal où les personnages sont marqués par l'épopée napoléonienne. Pour sa part, Alexandre Dumas a tiré une grande partie de sa gloire de romans qui évoquent les XVIe et XVIIe.s : La Reine Margot se déroule sous le règne de Charles IX, La Dame de Monsoreau pendant celui d'Henri III, Les Trois mousquetaires sous le règne de Louis XIII et Vingt ans après sous le règne de Louis XIV et à l'époque de la première révolution anglaise. Ecrite en période de plein essor de la presse écrite en France, la production romanesque d'Alexandre Dumas, dont l'abondance et la popularité pourraient être comparées à celle d'un Stephen King aujourd'hui, était d'abord diffusée en feuilleton dans les journaux avant d'être éditée.

 

Sur le plan du contenu, le romantisme peut se définir, d'une façon très générale, comme une exaltation des sentiments individuels. Dans la tragédie classique, avec Racine ou Corneille, les passions et les sentiments des personnages sont déjà très forts mais l'ordre social est également valorisé. Le héros romantique est au contraire un héros individualiste qui rejette la société ou se pose en victime de celle-ci. C'est ainsi que Margot et La Mole sont victimes de la politique et de la religion qui sont présentés comme des ferments de violence. Ce qui sauve moralement les héros romantiques, quels que soient leurs défauts de départ, c'est leur manière de mener jusqu'au bout leur destinée individuelle face à l'adversité. C'est ainsi que Margot, instrument et victime de la politique de sa mère, ne veut pas se laisser enfermer dans le jeu politique dans lequel on l'a placée : elle rejette l'intolérance des parties religieux et, après avoir beaucoup péché, trouve la rédemption dan son amour dans le comte de La Mole.

 

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Philippe Prunet, Cours de 2de, 1996/1997, Lycée Paul Valéry (Paris, 12e)

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10 novembre 2019 7 10 /11 /novembre /2019 00:33

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Les circonstances précises du déclenchement du massacre de la Saint Barthélémy sont mal connues. Dumas en profite pour insister sur les motivations psychologiques des personnages sur lesquelles il "brode". Malgré la tentative de réconciliation, les passions politiques et religieuses sont exacerbées et la proximité des deux clans à l'occasion du mariage ravive les haines. Dumas insiste sur le rôle manipulateur de Catherine de Médicis qui est présentée comme la véritable instigatrice de l'attentat contre Coligny, dont elle essaye en même temps d'attribuer la responsabilité au duc de Guise. Mais surtout, l'événement qui noue le drame est le mariage entre Henri de Navarre et Marguerite de Valois. Aux haines religieuses et politiques s'ajoutent, en cette circonstance, des rivalités sentimentales et familiales. Les mariages entre membres de familles princières sont pourtant chose commune dans l'Europe d'Ancien Régime pour conclure des alliances politiques. Cependant, à la raison d'Etat, Dumas superpose les passions humaines de ses personnages. Marguerite n'aime pas Henri de Navarre, elle lui préfère un autre protestant. Utilisée comme un instrument de la politique royale, elle devient aussi un objet de rivalités entre sentimentales entre catholiques et protestants à la manière d'Hélène de Troie dans L'Iliade. Son mariage entraîne la jalousie de ses frère avec qui (dans le film de Chéreau) elle semble entretenir des rapports plus ou moins incestueux et, surtout, provoque la jalousie du duc de Guise, son amant. Par ailleurs, l'influence paternelle que Coligny semble exercer sur Charles IX  aiguise la jalousie de Catherine de Médicis. Mais ce qui est en jeu ici, sur le plan historique et politique, c'est l'influence que pourront exercer respectivement catholiques et protestants sur le roi, qui est faible et malade (Charles IX est épileptique), au sein de son Conseil (gouvernement).

 

Enfin, La Reine Margot nous renseigne sur la situation internationale de l'époque. La France envisage une guerre contre l'Espagne catholique afin de briser l'encerclement que constitue la présence des Habsbourg à la fois en Autriche et en Espagne. Pour Coligny, cette guerre apparaît comme un moyen de réconcilier les Français (ou du moins le sujets du roi) dans une lutte commune contre un ennemi extérieur; cependant, le film ne dit pas que le parti catholique, la Ligue, était soutenu financièrement par l'Espagne. Par ailleurs, les Provinces Unies, pays protestant qui s'est émancipé de la tutelle espagnole, constitue dès le XVIe.s un refuge pour les huguenots français tandis qu'est également évoqué l'exil des Juifs d'Espagne où la royauté mène une politique particulièrement intolérante.

 

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Philippe Prunet, Cours de 2de, 1996/1997, Lycée Paul Valéry (Paris, 12e)

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9 novembre 2019 6 09 /11 /novembre /2019 23:26

Introduction :

 

1) nature du document, auteur, thème principal, contexte historique

 

La Reine Margot est un film de Patrice Chéreau de 1994 inspiré du roman homonyme d'Alexandre Dumas (1844). Il relate les amours de Marguerite de Valois (1553-1615), princesse catholique, soeur du roi de France Charles IX (1550-1574), avec un jeune noble protestant, le comte de La Mole, dans le contexte des guerres de religion qui secouent la France de la deuxième moitié du XVIe.s. Les idées protestantes des réformateurs Luther et Calvin, qui critiquent l'Eglise catholique, se sont répandues à travers l'Europe à partir des années 1520-1530 et on gagné des provinces entières comme en Allemagne (qui recouvre une multiplicité d'entités politiques différentes), en Scandinavie et en Grande-Bretagne. Dans le royaume de France, le pays, partagé entre une majorité catholique et une minorité calviniste, connaît une guerre civile. Entre les deux partis, le roi oscille entre une politique de conciliation et la répression des protestants.

 

2) analyse et plan

 

Ainsi, la première partie du film illustre bien certains traits de l'histoire politique et religieuse de cette époque, même s'il faut faire la part des choses entre fiction romanesque et cinématographique, d'un côté, et réalité historique de l'autre. Cependant, La Reine Margot est aussi un drame romantique et il faut présenter aussi le contexte littéraire du XIXe.s dans lequel Dumas écrit son roman. De plus, Patrice Chéreau, en cette fin de XXe.s, fait référence aussi à une histoire plus récente. Il faut donc, d'une part, confronter le récit romanesque et cinématographique aux connaissances historiques dont on dispose, d'autre part, essayer de mieux cerner les points de vue d'Alexandre Dumas et de Patrice Chéreau.

 

I) Fiction et réalité historique

 

Dans le film et le roman, Marguerite de Valois rencontre La Mole à l'occasion de son mariage avec Henri de Navarre qui doit sceller la réconciliation entre catholiques et protestants dans le royaume de France. Cependant, le parti catholique, dirigé par le duc de Guise, profite de l'occasion pour tenter d'éliminer les chefs du parti protestants réunis à Paris, en commençant par le premier d'entre eux, l'amiral de Coligny entré au Conseil du roi et qui pousse Charles IX à faire la guerre à l'Espagne catholique des Habsbourg. C'est par un attentat contre l'amiral que débute le massacre de la Saint Barthélémy du  24 août 1572. Henri de Navarre, pour sauver sa vie, est obligé d'abjurer la foi protestante. La Mole réchappe au massacre et trouve refuge aux Provinces Unies.

 

Tout en en enracinant leur récit dans la réalité historique, Dumas et Chéreau n'hésitent cependant pas à transformer plus ou moins le fil des événements : l'un pour les besoins de son intrigue romanesque, l'autre pour concentrer l'action dramatique du film. Ainsi, comme il le fait pour D'Artagnan dans Les Trois mousquetaires, Alexandre Dumas s'inspire avec La Mole d'un personnage qui a réellement existé, qui fut l'amant de Marguerite de Valois, mais qui était catholique et ne se trouvait pas à Paris au moment du massacre de la Saint Barthélémy. Par ailleurs, alors que la cérémonie du mariage et le massacre sont séparés un intervalle d'une semaine, Chéreau concentre l'action sur deux jours.

 

Pour les personnages les plus célèbres, Dumas ne modifie pas l'image et la réputation qu'ils peuvent avoir auprès du public; cependant, il accentue certains traits de leur personnalité supposée. Catherine de Médicis (1519-1589), qui dirige le clan royal composé de ses trois fils et de sa fille Marguerite, est présentée comme une Italienne manipulatrice, superstitieuse et empoisonneuse, adepte de la ruse et de la "raison d'Etat" conformément aux principes établis par son compatriote Nicolas Machiavel dans son traité politique Le Prince (1513). De son côté, Marguerite de Valois est fidèle à l'image d'une reine débauchée, mais généreuse et favorable à la tolérance religieuse. Pour sa part, Patrice Chéreau essaye de restituer la violence des hommes du XVIe.s et met en évidence leur émotivité et leur  susceptibilité. A défaut d'une reconstitution historique complètement exacte qui serait de toute façon impossible, Chéreau essaye de rendre tangible l'horreur du massacre par des effets spectaculaires de réalisme sanglant. De plus, il tente de nous rendre les personnages plus proches en adaptant les dialogues dans un langage actuel.

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 Voir la suite du cours (de l'article) sur ce même blog.

 

Philippe Prunet, Cours de 2de, 1996/1997, Lycée Paul Valéry (Paris, 12e)

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  • : Le blog de philippe prunet
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