gens armés humainement et intellectuellement pour défendre les principes républicains
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règle no 1 :
citer ses sources
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mangez des cookies
jolis cosmos, jolies musiques, bons croissants...
en dehors de cosmos de gens biens, reste aussi pas mal de forêts (ou de bosquets?) d'abrutis qui se cachent derrière leur petit doigt, de nouvelles idioties (boujour l'intox) ou des faux semblants...
évidemment, nobody's perfect, nobody's innocent, mais comme dirait Coluche, certains le sont parfois plus ou moins que d'autres (je sais, j'ai oublié les guillemets).
plan américain concentrique en coquille d'escargot (j'ai oublié le terme savant) : on approche du terminus où on trouve l'origine de tout....?
un carrefour mondialisé : rencontres et effets silex
tout semble parfois devenir plus normal quand c'est collectif
ou comment en prônant à la fois la libre pensée, le respect (critique : j'ai un point de vue) des croyances et le dialogue (critique : j'ai un point de vue) entre les civilisations (il y en a encore plusieurs?) , on se retrouve parfois piégé
en fait, parfois le moyen le plus sérieux et grave de poser les questions
note 2 de "Fenêtre sur cour" in. "Peer Gynt d'Ibsen. Essai d'anthropologie théâtrale" [un truc littéraire d'actualité que certains préfèrent s'approprier] :
"Pour Kundera, la légèreté correspond à Beethoven qui transforme "une inspiration comique en quator sérieux, une plaisanterie en vérité métaphysique" ou bien à l'"esprit de Parménide" qui consisterait à partir d'"une grande vérité métaphysique sous forme d'esquisse imparfaite" pour parvenir "comme une oeuvre inachevée à la plaisanterie la plus légère" (L'insoutenable légèreté de l'être)
(...)"
Même si je les ai fait momentanément passer et que je n'arrive plus à les effacer de Facebook (j'ai annulé l'accès public, mais je sais que c'est lu de toute façon), je garde peut-être encore pour moi quelques réflexions, du moins dans leur première expression.